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Par féministes dans Réagir et agir le 19 Avril 2017 à 16:15...et les pratiques pour abréger les jours d’un malade incurable seraient « de graves affronts à la dignité de la vie humaine ». Tout malade qui amorce le processus serait en état de faute grave ; et tant qu’il n’a pas reconsidéré sa décision, le prêtre n’est pas admis à lui...